Skieuse portant un masque anti-pollution Frogmask bleu

Quel masque antipollution porter à la montagne ?

Après une saison blanche en 2021, les stations de ski ont pu enfin réouvrir pour l’hiver 2022, tout skieur devait alors justifier d’un pass sanitaire ou d’un test négatif de moins de 24h et le port du masque dans les remontées mécaniques était obligatoire dès 11 ans, qu’elles soient intérieures et extérieures ainsi que dans les files d’attente.

Les équipements autorisés étaient : les masques chirurgicaux, les masques en tissu de catégorie 1, certains tours de cou filtrants homologués et les masques FFP2.

Les masques n’étaient, en revanche, pas nécessaires lors de la descente en ski. Les skieurs devaient alors jongler en permanence en bas et en haut de chaque piste pour installer et retirer leur masque après avoir enlevé leurs gants, leur casque… pas simple surtout si le temps était mauvais !

Frogmask est-il un bon masque antipollution pour la montagne ?

Avec un masque Frogmask il était possible de s’affranchir de cette gymnastique car on peut le garder sur le nez en permanence !

Skieur portant un masque Frogmask bleu marine

En plus de filtrer les particules en suspension jusqu’à 0,4µm (l’air de la montagne dans certaines vallées comme à Chamonix n’est pas si pur que cela), il vous tiendra chaud et sa matière hydrofuge vous protégera de l’eau s’il neige. Enfin, sa grande respirabilité ne vous gênera pas à l’effort.

Certaines stations n’ont pas un air si pur

En espérant que nous ne connaîtrons plus jamais de pandémie, il n’en reste pas moins que l’air de certaines vallées alpines et de leurs stations de ski rattachées n’est pas celui qu’on attend à la montagne. Les cotes d’alertes y sont très souvent dans le rouge.

Prenons l’exemple de la vallée de l’Arve, en Haute-Savoie. Cette vallée est réputée pour être l’une des plus polluées de France. Avec en moyenne 5000 voitures et 1500 camions empruntant le tunnel du Mont blanc chaque jour, la pollution au dioxyde d’azote y est inévitable. Le phénomène est amplifié dans cette vallée encaissée en cas d’inversion thermique : Phénomène atmosphérique selon lequel une couche d’air chaud chapeaute une couche d’air froid, créant un « couvercle » qui empêche la dispersion des polluants dans l’atmosphère (les polluants sont alors piégés au sol comme s’ils étaient « sous cloche »). Il n’est donc pas surprenant que certaines écoles interdisent à leurs élèves de participer à des activités extérieures lorsque les niveaux de pollution sont les plus élevés. Que dire alors des skieurs qui fréquentent les stations alentours Chamonix, Saint-Gervais, Vallorcine, Les Houches ou Combloux ? Le sujet reste tabou.

C’est la même histoire dans les stations surplombant la vallée de la Maurienne, qui permet d’accéder au tunnel du Fréjus, ou Grenoble. La ville est localisée dans une cuvette entourée de massifs où l’air pollué se retrouve piégé. La pollution est y très souvent plus forte qu’à Paris !

 

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